Patrick Dalleau : « Le 28 juin prochain, c’est Saint-Benoît qui doit gagner !» POLITIQUE

Patrick Dalleau (15,60 %), soutenu par Daniel Gonthier maire de Bras-Panon, est arrivé en troisième position, derrière Patrice Selly (22,13 %), candidat de gauche, et Sabrna Ramin (19,64 %) divers droite. Philippe Le Constant (14,79 %) union de la gauche et Valérie Payet-Gangnant (11,94 %) centriste, peuvent aussi se maintenir pour le second tour.

Dans ce communiqué envoyé aux rédactions ce jour, Patrick Dalleau appelle au rassemblement de tous les Bénédictins « derrière lui ». Voici l’intégralité de son message.


« Les résultats du premier tour des municipales de Saint-Benoît montrent qu’il est important que la population prenne conscience du rôle déterminant que devra tenir son futur maire dans le développement de la commune.


Nous devons amener les bénédictins à voir au-delà de la peur et de la démagogie.


L’avenir de la ville de Saint-Benoît est crucial pour les entreprises bénédictines, les artisans, les agriculteurs et les pêcheurs qui y vivent, pour l’épanouissement non seulement des enfants qui y naissent mais aussi de ceux qui y ont grandi et qui souhaitent y rester, pour tous les actifs qui sont obligés de faire des dizaines de kilomètres pour aller travailler (subissant au passage les embouteillages gigantesques de la ruée vers les bassins d’emploi du Nord et du Sud de l’île)…


Le 28 juin prochain, ce n’est pas une femme, un homme, ou un parti, mais c’est Saint-Benoît qui doit gagner. Pour cela, à l’image de la Réunion et des réunionnais, montrons que dans le respect de la diversité nous sommes capables de nous unir, non pas pour faire de la politique politicienne, mais pour réaliser un beau et véritable projet dédié au développement de Saint-Benoît.


Parce qu’il faut redonner à notre commune sa place de capitale de l’Est, et, à nos concitoyens la fierté d’être bénédictins, j’invite les hommes, les femmes et les partis de tous horizons, à me rejoindre pour agir dans l’intérêt de Saint-Benoît.


Il est important que nous rassemblions nos forces pour qu’un maximum de bénédictins puisse aborder convenablement les six prochaines années. Parce que c’est maintenant qu’il faut relever le défi, parce que nous avons Saint-Benoît dans le cœur, soyons solidaires, unissons-nous ! «