Il suffira d’un signe EDUCATION

Combien d’entre nous, non-muets, non mal-entendants ou non-sourds, se sont dits un jour, pourquoi ne pas apprendre le langage des signes. Si beaucoup d’entre nous savent dire « bonjour » et je t’aime dans le langage des signes, notre savoir, généralement dans ce domaine, s’arrête à ces deux expressions. Etonnant, non !

« Je veux un « A » ! Je veux un « B » ! Je veux un « C » ! Sur cette photo récupérée sur la page d’une dame qui incite le plus grand nombre d’entre nous à apprendre et à connaître le langage des signes. Il est vrai, ce n’est pas simple d’apprendre les 26 signes de la main qui « identifient » les 26 lettres de l’alphabet. Pourtant, en son temps, nous avons appris le morse. Au tout début, nous avons essayé de maîtriser le système binaire : 0 et 1.

Qu’est-ce qui explique que nous sommes réfractaires au langage des signes, à moins qu’un(e) proche soit concernée. Si l’on en croit les paroles de la chanson de Jean-Jacques Goldmann, « Il suffira d’un signe », ce signe ou plutôt ces signes, c’est à nous de le faire, à destination du public qui en a besoin. Eux. Et nous. Juste un instant, inversons les postures ! Alors, vous entendez mieux, ce qu’ils nous disent !