Aline Murin : « Ne vous trompez pas de cible ! » POLITIQUE

« Pour les personnes qui n’auraient pas compris le sens que je donne à ma candidature au poste de suppléante au côté de Patrick Serveaux, je veux leur dire que je ne suis pas le « Toutou » de personne ».

« J’ai toujours gardé ma liberté de croire, de penser et de m’exprimer. Conseillère régionale en charge de la Culture depuis plusieurs années, je n’ai jamais été aux ordres d’un homme ou d’un parti politique.

J’ai été manipulée certes et pris des coups, je me suis toujours relevée, mais j’ai surtout grandi depuis et gagné en réflexion politique .

J’ai défendu bec et ongle la #Culture et #l’identité #réunionnaise qui ne sont ni de #gauche ni de #droite .

Ma décision d’aller aux côtés de Monsieur Serveaux, est animée par cette envie profonde de préparer la Réunion aux #mutations de #demain, et d’être à la hauteur des enjeux post crise pour notre territoire et sa population.

Ce sentiment de vulnérabilité qui en cette période d’incertitude nous oblige, m’a décidé à m’engager dans cette législative partielle.

J’ai l’intime conviction, que Patrick Serveaux aura la capacité d’animer cette tribune à l´Assemblée nationale pour défendre les intérêts de la Réunion , nos spécificités, nos difficultés économiques et sociales et nos différences ultramarines.

Alors , je vous invite à revoir vos copies et de noter que j’ai toujours gardé ma liberté et que je ne suis « le toutou de personne ».

Je suis aux côtés de Patrick Serveaux et je l’accompagnerais avec loyauté, courage et désintéressement; pour le développement économique et social de notre région dans un environnement à protéger, trop fragilisé par trop d’abus et de dérives comportementaux.

Dans plusieurs domaines, certains de nos politiques ont manqué de courage politique et de vision.

Nous devons avoir une vision commune pour avancer dans plus d’unité et surtout acquérir cette culture de #prévention qui nous fait tellement défaut pour aborder les crises de demain.

Je n’ai aucune crainte pour demain, car, j’ai vécu hier et j’adore ce que je fais aujourd’hui ».

Aline Murin, conseillère régionale